hannah arendt the origins of totalitarianism amazon

The preparation has succeeded when people have lost contact with their fellow men * as well as the reality around them for together with these contacts, men lose the capacity of both experience and thought. Just as terror, even in its pre-total, merely tyrannical form ruins all relationships between men, so the self-compulsion of ideological thinking ruins all relationships with reality.

Exactly twenty years before her piercing treatise on lying in politics, she writes: Half a century earlier, Hannah Arendt (October 14, 1906–December 4, 1975) examined those peculiar parallel dimensions of loneliness as a profoundly personal anguish and an indispensable currency of our political life in her intellectual debut, the incisive and astonishingly timely 1951 classic The Origins of Totalitarianism ( public library).Īrendt paints loneliness as “the common ground for terror” and explores its function as both the chief weapon and the chief damage of oppressive political regimes. Un argument sublime, sans exagération.“Loneliness is personal, and it is also political,” Olivia Laing wrote in The Lonely City, one of the finest books of the year. Elle montre le 'clash des civilisations' qui oppose la révolution américaine menée par des gens de culture classique latine au désastre de la révolution française menée par des gens de culture grecque et chrétienne. Les chapitres 5 et 6 sont essentiels à lire pour qui veux comprendre enfin comment on peut penser les révolutions de manière éclairante. Tout ceci ne fait en réalité que préparer le grand feu d'artifice digne des plus beaux qu'a produit Hannah Arendt dans son œuvre immense. Petit à petit, on voit le livre se focaliser sur la comparaison de la révolution française de 1789 et la révolution américaine qui a mené à l'indépendance.

Elle navigue difficilement entre les rochers et les bancs de sable, abordant courageusement les diverses positions avancées par les philosophes, les historiens, et le révolutionnaires depuis la nuit des temps. Les trois premiers chapitres s'attaquent à la question des objectifs poursuivis et leur liens avec les chances de succès. Dans ce livre, elle se bat avec un sujet piégeux, plein de contradictions et de débats stériles. Hannah Arendt est un des esprits du XX-ième siècle en matière de philosophie politique et d'histoire politiue analytique.

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